Le QG de
Guillaume Krempp au Kitsch’n Bar

Guillaume Krempp © Jésus s. Baptista

Qui
Depuis quatre ans, Guillaume Krempp est journaliste pour Rue89 Strasbourg. Fervent supporter du journalisme local, il est aussi boulimique d’enquêtes. Ses thématiques : l’écologie, l’actu sociétale strasbourgeoise, toutes les injustices méritant d’être dénoncées, et tous les actes appelant louanges.

Son choix
Proche des anciens locaux du média d’informations, c’est d’abord au hasard que Guillaume Krempp a foulé pour la première fois le sol du Kitsch’n Bar. Pendant longtemps, cette succursale du kitsch l’a accueilli, tous les midis, et très souvent les soirs, une « démonstration de la préciosité de l’habitude ».

Ce qu’il aime

L’esprit du lieu, sa sincérité à tout point de vue, dans la décoration, l’atmosphère, le service et la cuisine. Ici, pas de chichis, mais l’authenticité de la simplicité. Il aime aussi son côté engagé : « On a l’impression que toute la gauche strasbourgeoise se réunit ici le midi. » Et les gens évidemment, ceux qu’il connaît, ceux qu’il croise régulièrement. Il aime Pascale, la patronne, cette « seconde maman qui vous accueille toujours avec le sourire ». Et « l’inclusivité, en termes de prix aussi ».

Ses produits phare

« Les frites du Kitsch », ces gourmandises « dorées, croustillantes à l’extérieur, fondantes à l’intérieur, et cette sauce blanche aux herbes qui les accompagne, pour seulement 2,50 € ». Ses rituels Lorsque Rue89 était encore installée quartier Gare, chaque matin à 10h, Guillaume Krempp tapotait sur son téléphone pour réserver une table au déjeuner. Chaque jour, vers 12h, il se rendait Quai Charles Altorffer pour déguster un plat du jour commandé à l’aveugle, se laissant à chaque fois surprendre. Du poulet basquaise, des nouilles façon asiatique, etc. Au Kitsch’n Bar, il y en a pour tous les goûts, et les plus minces portefeuilles. 8€ le plat du jour.


Kitsch’n Bar, 8, quai Charles Altorffer à Strasbourg


Par Lucie Chevron
Photo Jésus s. Baptista