Plus besoin d’être à l’heure de l’apéro pour prendre un verre. Dans ce nouveau bar à lunettes, Superlunettes (ça ne s’invente pas !), situé en plein cœur de Metz, on en prend plein les mirettes sans bouger du zinc !
Inaugurée fin juin dans la cité mosellane, Superlunettes impose son super concept en déclinant toute son offre de lunettes à la carte comme si on était dans un bar.
Ici on se prend des verres à voir sur des montures personnalisables ultra stylées à des prix très abordables.
Parce que la vue ne devrait pas être un luxe, la jeune griffe s’affranchit des intermédiaires en dessinant et produisant en interne pour limiter les coûts.
Et pour une paire de lunettes et des verres correcteurs, chez Superlunettes il faudra débourser 49 €. Le reste est en supplément.
Question service, c’est open bar. L’optique restant un métier technique et précis, la boutique prend à contre-pied la tendance de sites de vente en ligne de lunettes, en choisissant de concilier accessibilité prix, savoir-faire et expertise en magasin avec son équipe d’opticiens, emmaillotés de tabliers de barman évidemment !
La petite cerise sur le cocktail ? Superlunettes s’inscrit dans une démarche responsable et respectueuse de l’environnement en privilégiant les circuits courts et le Made in France. La marque s’engage aussi à réduire et trier des déchets même auprès de sa clientèle, avec un forfait pour venir recharger en magasin le produit nettoyant pour les verres et éviter le gaspillage. Une bien belle vision.
Il travaille – déjà – avec les meilleurs. Ancien cuisinier reconverti en céramiste depuis un peu plus de trois ans, Rudy Surco s’applique au quotidien à mettre ses petits plats au service des grands.
« J’aime les projets qui ont du sens et des valeurs. » Noémie D’hooge, propriétaire de Ondine, table gastronomique de Strasbourg, ne pouvait que trop bien se retrouver dans l’art sensible et intuitif de Clara Valdes, designeuse d’objet.s, qui travaille principalement le contenant culinaire.
Tout a commencé par un coup de bol. Qu'il fut adroit, Guillaume Buecher, d'être entré dans le magasin de porcelaine de Barbara Leboeuf à la recherche de quelques amis de faïence pour son auberge étoilée.
Pour l’artiste-sculpteure Lea Munsch, pas question de parler « d’art de la table ». Dans son atelier de Lutzelbourg, installé dans une ancienne usine, le processus de création est animé par une volonté de magnifier la nature sans l’altérer.
